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Déjà, en 2016, on a compté 171 SCPI sous la gestion de 28 sociétés agrées en France. Toutes catégories confondues, les SCPI ont pu collecter 5562 millions d’euros. C’est un chiffre clé assez remarquable que récoltent les différents types de SCPI.
SCPI à capital fixe
C’est le cas pour les Sociétés Civiles de Placement Immobilier avec un montant du capital initial déjà prévu par des statuts. Alors, lorsque ce capital est atteint, on ne peut plus avoir une augmentation que sous la décision d’une assemblée générale. Néanmoins, c’est la meilleure maîtrise du bénéfice qui permet d’ouvrir le capital en fonction des différentes opportunités.
Cependant, en dehors des différentes argumentations, on ne peur acquérir des parts que sur le marché secondaire : l’offre et la demande. Et encore, il y a un risque de déconnexion entre la valeur des actifs et le prix des parts.Ouvrir ce lien vous permettra d’en savoir plus.
SCPI à capital variable
Pour ce type de Sociétés Civiles de Placement Immobilier, les investisseurs ont le droit de se souscrire dans des nouvelles parts si le capital maximum n’est pas encore atteint. Ainsi, il peut y avoir une augmentation de capital en fonction des modalités que les sociétés de gestion ont fixées. Les SCPI possèdent des biens diversifiés sur différents types d’actifs (bureaux, commerce, mur de magasin…), et c’est la principale raison pour laquelle il y a beaucoup d’investisseurs intéressés. Ainsi, on peut acquérir plusieurs parts jusqu’à ce que le capital soit atteint.
En plus, les rachats sont directement gérés par les sociétés de gestion, et le prix de chaque part diffuse plus la valeur des actifs. Néanmoins, en cas de collecte mal maîtrisée, il peut y avoir une chute de rentabilité. Ainsi, il y a vraiment une variation dans ce type de société, cela peut constituer des atouts, mais aussi des pertes en cas de male gérance.